Il n’est pas de miel plus doux que celui de la connaissance.
Le Cher en été, par Hugues Folloppe N e me demandez plus pourquoi j’aime la Touraine ! Je ne l’aime ni comme on aime son berceau, ni comme on aime une oasis dans le désert ; je l’aime comme un artiste aime l’art ; […] sans la Touraine, peut-être ne vivrais-je...